- Maciej Hajnrich est un illustrateur et graphiste freelance polonais qui agit sous le pseudo de Valp.
- Il travaille depuis pas mal et est franchement talentueux.
- C’est pas pour rien qu’il a son blog sur ComputerLove (D’ailleurs, je vous conseille de suivre ComputeLove en RSS, ils ont des articles vraiment bien)
- Je suivais Gregory Euclide sur DeviantArt depuis longtemps, et je n’avais pas de nouvelles images depuis pas mal. (une pitite année) J’ai donc suivi le lien de sa page DA, et je suis tombé sur son site
- Je suis TOTALEMENT incapable de faire ce qu’il fait et pourtant je trouve ça trop beau dans les couleurs mais surtout dans le côté géométrique de ses oeuvres.
- Mais je connais pas mal de monde qui aime pas… à vous de vous faire votre avis sur les oeuvres présentes sur son site.
De nouvelles pratiques artistiques, liées à l’extrême souplesse des outils numériques, complexifient les notions d’oeuvres et d’artistes. La démocratisation des moyens de production et la centralisation de ces moyens sur un même outil, l’ordinateur modifient le rapport à la création.
Ainsi l’image numérique en mouvement s’autorise toutes les libertés, déconstruit les rouages de cette machine bien huilée qu’est la production d’un film, par la réappropriation et le mixage d’oeuvres antérieures.
Les mythes cinématographiques s’avèrent être un répertoire inépuisable de situations, d’histoires, de personnages, revisités par cette nouvelle génération d’artistes «sémioniautes». Codes éprouvés, genres bien déterminés, ou processus répertoriés, générateurs d’une tension dramatique, toute cette nomenclature est démontée, reconstruite, compressée dans le studio numérique.
L’exposition CINE.MOV portera sur les nouvelles écritures de l’image en mouvement avec des oeuvres formant un trait d’union entre le cinéma expérimental, l’art vidéo, les arts plastiques et l’iconographie portée par le numérique. Rompant avec le cinéma hollywoodien et ses impératifs d’accessibilité au plus grand nombre par le plus petit dénominateur commun ces oeuvres font voler en éclat les hiérarchies de production et d’écriture du cinéma traditionnel. Au lieu du romanesque et du pathos c’est la poésie, le concept, l’humour qui servent de fil conducteur à ces nouvelles formes d’images en mouvement.
- Que du beau monde, je crois que tout est dit : RDV à l’ Association Synesthésie 15 rue Denfert-Rochereau 93200 – Saint-Denis
- La présentation ici